Nos coffrets Ă  La Clinique de La Source

Nos coffrets Ă  La Clinique de La Source

C’est avec beaucoup d’émotions que nous vous annonçons que nos mini-coffrets sont dĂ©sormais en vente Ă  la Clinique de La Source, Ă  Lausanne.

Ayant toutes les deux accouché à la Clinique de La Source, nous sommes émotionnellement trÚs attachées à ce lieu. Nous sommes donc trÚs touchées de pouvoir collaborer avec leurs équipes et proposer nos mini-coffrets aux parents de demain.

Et nous sommes trĂšs fiĂšres que les parents de demain puissent se voir offrir un cadeau UTILE lors de la naissance de leur enfant. ????????

Tu pourras retrouver nos mini-coffrets « Allaitement », « Bébé » et « Cadeau de naissance » en vente au kiosque de la Véranda.

Donc pas de panique, si bĂ©bĂ© arrive avec un peu d’avance ou si tu n’as pas d’idĂ©e pour le cadeau, on sera lĂ  pour que tu puisses quand mĂȘme offrir quelque chose d’utile et qui rĂ©pond aux besoins des parents et de bĂ©bĂ©.

Merci à la Clinique de La Source pour leur confiance ! 

Julie

Yasmine

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Levée de fonds

Levée de fonds

Nous avons besoin de toi !

Parentalescence est la premiĂšre plateforme d’accompagnement Ă  la parentalitĂ© de Suisse Romande. C’est un projet qui nous tient Ă©normĂ©ment Ă  coeur et qui, nous en sommes convaincues, peut concerner tous les parents, quelle que soit l’aventure vĂ©cue. 

Pour aider Ă  rĂ©duire la charge mentale parentale, nous avons créé diffĂ©rents coffrets regroupant des produits indispensables aux premiĂšres Ă©tapes de la parentalitĂ© (sĂ©jour Ă  la maternitĂ©, mise en place de l’allaitement, premiers soins Ă  bĂ©bĂ©, etc.). Pour le moment, nous auto-finançons la totalitĂ© de nos frais et c’est sans compter nos heures de travail Ă  nous ????.

Afin de accompagner au mieux les parents et te proposer notre travail dans la meilleure des qualités, nous avons décidé de lancer une levée de fonds sur la plateforme WeMakeIt ! 

Les fonds reversĂ©s serviront Ă  l’achat des produits afin de rĂ©aliser un stock et envoyer les coffrets dans les plus brefs dĂ©lais, acheter de la papeterie (flyers, autocollants, cartes de visites, dĂ©pliants, etc.), amĂ©liorer la qualitĂ© de notre packaging, etc. 

Nous espérons ainsi continuer à développer Parentalescence et accompagner les familles au mieux dans leur aventure parentale. 

Nous avons vraiment besoin de toi pour rĂ©colter la somme nĂ©cessaire, car s’il manque 1 CHF par rapport Ă  notre objectif final, nous n’obtenons rien ????.

Donc chaque contribution compte et quel que soit le montant que tu dĂ©cides de nous donner, cela nous aide Ă  atteindre l’objectif fixĂ©. Chaque franc dĂ©montre ton soutien envers notre projet et nous prouve que tu crois en nous! 

Notre crowdfunding dĂ©bute ce lundi 3 octobre Ă  19h. On espĂšre pouvoir compter sur toi dĂšs les premiers instants, car plus le financement dĂ©marre en trompe, plus il a de chances d’aboutir 😀 Et n’hĂ©site pas Ă  le partager avec le plus de monde possible, cela nous aide grandement aussi ! Voici le lien : https://wemakeit.com/projects/coffrets-parentalescence

D’avance, un immense merci pour ton soutien ! 

Julie

Yasmine

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Avoir un seul enfant ou plusieurs?

Avoir un seul enfant ou plusieurs?

On a tous des projets, des projections par rapport Ă  notre vie future lorsqu’on est ado ou jeune adulte. On s’imagine mariĂ©-e, en couple, cĂ©libataire, en union libre, avec un enfant, plusieurs, pas d’enfant, une maison, un appart, une caravane, un chien, une chĂšvre, faire le tour du monde, aller vivre ailleurs, etc.

Mais la grande question qui revient souvent est celle des enfants : Combien ? Quand ? RapprochĂ©s ?

Dans cet article, on a envie de vous partager nos deux histoires, nos deux visions .

Pour moi, Julie, je me suis toujours vue avec des enfants. Depuis petite, c’était une Ă©vidence, je serai maman ! J’ai toujours aimĂ© jouer avec mes poupĂ©es, mes peluches, mes barbies et ai toujours Ă©tĂ© attirĂ©e par les plus jeunes enfants, pour m’en occuper etc. (les enfants d’amis, mes cousins, etc.)

J’avais un peu ce clichĂ© en tĂȘte (depuis petite dĂ©jĂ ) de la famille avec papa, maman, un garçon, une fille, une maison, un chien ^^
Les annĂ©es ont avancĂ© et je me voyais toujours avec deux enfants et de « prĂ©fĂ©rence » d’abord un garçon.

Puis, vers mes 16 ans, j’ai rencontrĂ© une famille, qui est devenue ma deuxiĂšme famille, composĂ©e de 4 enfants. Je trouvais cela gĂ©nial, avoir plusieurs enfants, plein de frĂšres et sƓurs pour eux, etc. DĂšs ce moment, je m’imaginais plutĂŽt avec une grande famille.

En rencontrant mon mari, j’avais toujours ce profond dĂ©sir d’enfant mais lui n’était pas autant « au taquet » que moi. AprĂšs quelques annĂ©es de relations et notre mariage, on s’est dit que c’était le moment. Le chemin pour avoir notre fils a Ă©tĂ© un peu sinueux : nous avons dĂ» faire une fĂ©condation in vitro et cela a remis beaucoup de choses en question.

En effet, durant tout ce temps oĂč cela ne fonctionnait pas, j’ai eu le temps de me poser une tonne de question, notamment pourquoi fait-on des enfants ? Pour nous ? Pour eux ? Pourquoi fonder une famille ? Puis-je vivre sans enfant ? Et j’en passe !
Mais petit Ă  petit la question du nombre s’est aussi posĂ©e ! Souhaite-t-on toujours plusieurs enfants (pour mon mari c’était plutĂŽt 2 que 4^^) ? Si on a 2 embryons, on les implante les 2 ?

Bref, notre fils est arrivĂ© et je dois dire que depuis ce moment-lĂ  (et mĂȘme un peu avant la naissance je pense), c’est trĂšs clair que nous n’aurons qu’un enfant. Pourquoi ? Alors que j’en voulais 4 il n’y a pas si longtemps ?
Tout d’abord car le parcours est quand mĂȘme Ă©prouvant. Bien sĂ»r il est possible que cela fonctionne naturellement pour un deuxiĂšme mais mon cĂŽtĂ© parfois un peu pessimiste n’y croit pas trop. MĂȘme si nous ne sommes pas vieux, les annĂ©es filent et nous avons envie d’ĂȘtre en forme pour nos enfants (du coup si cela prend de nouveau du temps, le 2Ăšme aura des parents essoufflĂ©s et aigri ^^, je caricature bien entendu !). Et mĂȘme si je sais qu’on peut aimer chacun de ses enfants avec la mĂȘme force, au fond de moi j’ai peur que mon fils reste « spĂ©cial » Ă  mes yeux et que ce ne sera pas pareil pour le deuxiĂšme. De plus, j’ai l’impression et je sais qu’il y a une part de vĂ©ritĂ© lĂ -dedans, que je ne pourrai pas autant profiter des premiers instants avec le 2Ăšme ou au contraire de « dĂ©laisser » mon premier.

En discutant avec mon mari, nous avons trouvĂ© plus de points positifs Ă  n’avoir qu’un enfant (financiĂšrement, pour voyager, l’attention que l’on a pour lui, etc.) que de points nĂ©gatifs. Bien entendu, tout ce que je vous partage lĂ  n’est que NOTRE ressenti, NOS choix, etc. !

Bien sĂ»r que parfois nous nous posons quand mĂȘme la question, parce que la sociĂ©tĂ© met une certaine pression sur les parents ne souhaitant qu’un enfant ! « Il va s’ennuyer », « Vous ne voulez pas lui offrir un petit frĂšre ou une petite sƓur ? » (comme si c’était un objet, un cadeau), « ça va faire un enfant roi, pourri gĂąté ! », « Mais socialement ça va ĂȘtre compliquĂ© s’il n’est qu’avec des adultes non ? », j’en passe et des meilleures !
ForcĂ©ment que je me pose la question, forcĂ©ment que j’ai peur d’en faire un enfant roi, forcĂ©ment que je me demande s’il s’ennuie en Ă©tant « seul », etc.

Mais je sais aussi qu’en se posant ce genre de questions, cela veut dire qu’on y est attentif-ve et que l’on essaie de faire au mieux .

Et n’oublions pas que quoique nous fassions, il y aura toujours quelqu’un pour critiquer ! Un enfant unique ça ne va pas, une grande fratrie ça ne va pas, trop rapprochĂ©s ça ne va pas, trop Ă©loignĂ©s non plus, etc. !

Pour moi, Yasmine, j’ai toujours aussi su que je voulais des enfants. J’ai un petit frĂšre de 8 ans de moins que moi et je me souviens aimer m’occuper de lui comme une « petite maman ». J’adorais aussi les poupĂ©es tout en ayant eu une Ă©ducation peu genrĂ©e et Ă©tant plutĂŽt « garçon manqué » dans le choix de mes activitĂ©s, vĂȘtements, etc.
Je pense que j’avais vraiment cette volontĂ© d’ĂȘtre mĂšre depuis toute jeune. J’ai fait le choix d’exercer le mĂ©tier d’éducatrice sociale, car j’aime ĂȘtre en prĂ©sence d’enfants, j’aime leur faire dĂ©couvrir leur environnement, leur transmettre des valeurs, blaguer, jouer avec eux, etc.

J’ai toujours voulu deux enfants. Le modĂšle « reconnu » par la sociĂ©tĂ© de l’aĂźnĂ© garçon et de la cadette fille me faisait envie mais sĂ»rement parce que c’est ce qu’on voit partout (publicitĂ©s, films, livres pour enfants, etc.). Puis lorsque j’ai rencontrĂ© mon mari, issu d’une fratrie de trois et entourĂ©s de proches tous avec trois enfants, j’ai commencĂ© Ă  idĂ©aliser ce modĂšle familial Ă  trois enfants.

Puis nous avons eu notre premier enfant, un garçon. Lorsqu’il a eu 1 an, nous avons fait le bilan de notre premiĂšre annĂ©e en tant que parent et avons constatĂ© que, malgrĂ© toutes les difficultĂ©s endurĂ©es, nous formions une super Ă©quipe et que nous nous en sortions plutĂŽt bien. Nous avons donc dĂ©cidĂ© que nous Ă©tions prĂȘts Ă  tenter un deuxiĂšme enfant. Nous les souhaitions rapprochĂ©s, car nous avons tous les deux de grands Ă©carts d’ñge avec nos frĂšres et sƓurs (8, 7 et 5 ans) et souhaitions autre chose pour nos enfants. Nous nous sommes Ă©galement mis d’accord sur le fait que nous prĂ©fĂ©rions que cela soit « dur » pour nous de gĂ©rer deux enfants en bas Ăąge plutĂŽt que notre fils aĂźnĂ© rĂ©agisse fort Ă  l’arrivĂ©e d’un petit frĂšre/petite sƓur lorsqu’il aurait 3-4-5 ans (Nous avons suivi le postulat du « plus dur pour nous que pour lui »). Nous avons anticipĂ© le fait que comme ils auraient moins de deux ans de diffĂ©rence, cela serait plus facile pour lui d’accepter l’arrivĂ©e de ce deuxiĂšme enfant.

Bref, je suis tombĂ©e enceinte le soir mĂȘme ^^. Nous avons dĂ©couvert qu’il s’agissait d’un deuxiĂšme petit garçon et j’ai Ă©tĂ© trĂšs heureuse de l’apprendre. Je trouvais gĂ©nial pour notre aĂźnĂ© d’avoir un frĂšre si proche en Ăąge (21 mois de diffĂ©rence) et imaginait qu’ils grandiraient comme des jumeaux, des meilleurs amis, qu’ils feraient les 400 coups Ă  l’adolescence ensemble et qu’ils seraient toujours lĂ  l’un pour l’autre. J’Ă©tais trĂšs fiĂšre de les imaginer devenir hommes ensemble. Le clichĂ© du « choix du roi » Ă©tait bien loin de mon esprit.
Et c’était Ă©galement trĂšs pratique, d’un point de vue matĂ©riel, de ressortir toutes les affaires de notre aĂźnĂ© et de les installer pour notre cadet. J’étais Ă©mue Ă  chaque fois que je ressortais un pyjama et que j’imaginais ce futur bĂ©bĂ© dedans et je revivais les moments vĂ©cus avec mon aĂźnĂ©. De jolies Ă©motions.

Cela fut magique pour moi de tout revivre, la grossesse, de prĂ©parer toutes ses petites affaires, de prĂ©parer mon accouchement et de retrouver l’équipe de professionnel-le-s qui m’avaient suivie (sage-femme, acupunctrice, gynĂ©cologue, osthĂ©opathe, etc.). J’ai savourĂ© chaque moment, car je savais que ça ne durait qu’un temps.

AprĂšs un accouchement magique, oĂč j’ai eu un coup de foudre immĂ©diat pour mon fils (je n’ai jamais eu de doute quant au fait de l’aimer moins que mon aĂźnĂ© durant ma grossesse), j’ai vĂ©cu un post-partum plus doux que le premier. J’étais mieux informĂ©e, mieux prĂ©parĂ©e et je savais Ă  quoi m’attendre. Mon fils aĂźnĂ© a « peu » rĂ©agi Ă  l’arrivĂ©e de son petit frĂšre. Il a eu une phase oĂč il ne voulait que son papa mais ça nous arrangeait bien dans un sens (vu que j’allaitais le petit) et je savais que ça ne durerait pas. Ils ont trĂšs vite commencĂ© Ă  nouer une complicitĂ© et sont aujourd’hui (Ă  2 et 4 ans), les meilleurs amis du monde. Ils se disputent trĂšs rarement et son toujours inquiets de savoir oĂč est l’autre, comment va l‘autre, etc. C’est merveilleux de voir leur lien se tisser jour aprĂšs jour et de savoir qu’ils seront lĂ  l’un pour l’autre quoiqu’il arrive et mĂȘme sans nous.

Viens ensuite la question du troisiĂšme enfant. Mon mari est catĂ©gorique. Il n’en veut pas. Moi, je suis plus partagĂ©e, parfois j’ai envie parfois pas. A vrai dire, plus ils grandissent, moins j’en ai envie.
J’ai encore l’image de la famille idĂ©ale avec trois enfants en tĂȘte mais quand je rĂ©flĂ©chis, je nous vois au complet. Un troisiĂšme enfant signifierait tout recommencer, remettre mon corps au travail, risquer plein de choses, mes deux premiĂšres grossesses et accouchements s’étant bien passĂ©s, j’aurais peur de « tenter le diable » sur un niveau physique et Ă©motionnel. Et cela impliquerrait plein de changements, les garçons ont chacun leur chambre et un troisiĂšme signifierait qu’ils devraient partager une chambre, on devrait changer la voiture, renoncer Ă  plusieurs voyages, projets professionnels, etc. Nous avons aussi envie d’ĂȘtre trĂšs disponibles pour nos fils et notre temps est comptĂ© donc un troisiĂšme enfant viendrait encore diviser le temps qu’on a Ă  disposition pour nos enfants.

Pour l’instant, le choix de la raison l’emporte sur celui du coeur et cela restera sĂ»rement ainsi mais qui sait ce que la vie nous rĂ©serve. On verra…

Julie & Yasmine

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Mes indispensables

Mes indispensables

Dans la rubrique « grossesse », nous avons fait un article sur les achats pour le nouveau-né (cf. article).
Je te propose ici une liste de mes articles « chouchous » depuis que j’ai mon fils.  

Chambre

  • Les draps housses trop chou de chez Verbaudet
  • Les gigoteuses pratiques et pas chĂšres de chez C&A
  • Le matelas Ă  langer Shnuggle lĂ©gĂšrement inclinĂ© (idĂ©al lorsque bĂ©bĂ© a tendance Ă  rĂ©gurgiter en position couchĂ©e), en matiĂšre douce et facilement lavable
  • Le coussin d’allaitement DooMoo (n’oublie pas d’acheter une 2Ăšme jolie housse pour quand tu laves la premiĂšre)
  • Les solutions de rangement de la gamme Kallax chez Ikea
  • Le tapis de jeu SkipHop en mousse

HygiÚne et santé

  • Les couches Rascal&Friends ou Keekoo (marque Suisse !) toutes douces, flexibles et super Ă©tanches

En balade

  • La poussette Bugaboo, j’ai pris la Fox et j’en suis enchantĂ©e ! Elle est trĂšs maniable, une des plus lĂ©gĂšres et va partout

Pour les accessoires :

  • ChanceliĂšre d’hiver performance
  • Coussin confort respirant
  • Les siĂšges auto de la marque Cybex
  • Le porte-bĂ©bĂ© prĂ©formĂ© Neo de Neobulle pour le dĂ©but, puis ceux de la marque Tula
  • Le nid d’ange de Red Castle pour la nacelle
  • Les sacs Ă©tanches bambino mio pour mettre les habits ou les couches sales
  • Le pantalon de pluie (trĂšs utile aussi quand bĂ©bĂ© va Ă  quatre pattes)
  • La combinaison pas trop Ă©paisse pour le siĂšge auto

Repas

  • Les assiettes et bols qui se ventousent
  • La chaise haute Tripp trapp de chez Stokke

Pour les accessoires :

  • Set Newborn
  • Baby Set
  • Harnais
  • Les biberons en verre Mam

ÉtĂ©

  • La combinaison UV pour la piscine
  • La casquette UV
  • Les chaussons Slipstop

 

Comme il n’y a pas de juste ou de faux dans la parentalitĂ©, je (Yasmine) trouvais Ă©galement important de te mettre mes “must have” de puĂ©riculture pour mes deux garçons.

Chambre:

  • AlĂšse/drap housse 2 en 1 de chez Vertbaudet, contre les pipis, vomis, etc.
  • Coussin d’allaitement Candide Multirelax, qui se transforme Ă©galement en transat pour bĂ©bĂ©.
  • Cocoonababy de Redcastle, permet de dĂ©placer le nouveau-nĂ© durant sa sieste et de le poser sur la table Ă  manger, sur le canapĂ©, sur son lit, dans la salle de bain, etc. (attention Ă  toujours surveiller pour Ă©viter les chutes).
  • Un parc au salon pour mon 2e enfant, pour lui permettre de jouer en sĂ©curitĂ© (du 1er donc ????) et me permettre d’aller aux WC sereinement, par exemple.
  • Solution de rangement de la gamme Trofast de chez Ikea
  • Babyphone DECT de Phillips Avent, pour profiter du jardin pendant la sieste.

HygiÚne et santé:

  • SiĂšge de bain Rotho design pour savonner sereinement le grand sans que le petit se noie ????
  • Pipettes de NaCl 20ml pour faire des lavages de nez efficaces.

En balade:

  • L’ancien chauffe-biberon Avent (le bleu, Ă  acheter d’occasion donc), car il s’arrĂȘte automatiquement quand le biberon est Ă  la bonne tempĂ©rature.
  • Poussette Joie Pact Lite, peut-ĂȘtre emmenĂ©e dans la cabine de l’avion. TrĂšs maniable et le siĂšge se couche Ă  plat.
  • Nid d’ange Vertbaudet pour le maxi-cozy. Permet de sortir bĂ©bĂ© de la voiture sans l’habiller pour juste aller faire le plein, acheter du pain, etc.
  • Adaptateurs maxi-cozy pour poussette, pour Ă©viter de rĂ©veiller bĂ©bĂ© qui s’est endormi dans la voiture en le dĂ©plaçant.
  • Pantalon et/ou combinaison de pluie de la Migros
  • Lunettes Ă  soleil Izipizi
  • Mousqueton de poussette pour accrocher tes courses, achats, etc.
  • Sling “Je porte mon bĂ©bĂ©â€, pour porter un nouveau-nĂ© et pouvoir tout faire de ses deux mains
  • Combi pilote sans pieds pour pouvoir porter bĂ©bĂ© en porte-bĂ©bĂ©

Repas:

  • Transat et chaise haute Stokke Steps pour permettre au nouveau-nĂ© d’ĂȘtre prĂ©sent Ă  table avec la famille (plus le reste du kit pour Ă©voluer en mĂȘme temps que l’enfant grandit)
  • Thermos Avent pour prĂ©parer un biberon ou chauffer au bain-marie les purĂ©es.
  • Sac isotherme Skip Hop pour transporter biberons et purĂ©es en balade
  • Assiettes ventouse de EZ-PZ
  • Tasse d’apprentissage 100% anti-fuite Munchkin miracle 360°
  • Bavoir en silicone SkipHop

Nous ne sommes (malheureusement 🙂 ) pas sponsorisĂ©es par ces diffĂ©rentes marques, ce sont nos choix personnels et comme l’a dit Yasmine, il n’y a pas de juste ou de faux 🙂 Chacun-e fait en fonction de ses besoins, ses envies, son budget, etc. Si tu le souhaites, tu peux nous partager tes indispensables en commentaire ! 

 

Julie

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Ce que j’aurais aimĂ© savoir – TĂ©moignage de Vanessa

Ce que j’aurais aimĂ© savoir – TĂ©moignage de Vanessa

Vanessa nous a contactĂ©es suite Ă  notre « appel Ă  tĂ©moignages ». Je l’ai rencontrĂ©e lors d’un dĂźner oĂč nous avons Ă©changĂ© sur les joies et les difficultĂ©s de la maternitĂ©. Suite Ă  cela elle nous a proposĂ© de rĂ©diger son tĂ©moignage. Merci infiniment de nous avoir confiĂ© ton histoire !

Je m’appelle Vanessa et j’ai un petit garçon qui est nĂ© en avril 2019. Je n’arrive pas encore Ă  croire que dans 3 mois il aura dĂ©jĂ  3 ans.

Je voulais apporter mon tĂ©moignage sur ce que j’aurais aimĂ© savoir avant d’avoir un enfant.

Concernant la grossesse, je trouve avoir Ă©tĂ© trĂšs bien renseignĂ©e avec des lectures, internet, ma gynĂ©co. J’ai eu de la chance d’avoir eu une grossesse gĂ©niale et magnifique et pour moi c’Ă©tait comme un miracle Ă©tant donnĂ© que je n’Ă©tais pas censĂ©e pouvoir tomber enceinte naturellement. Par contre, je me suis vite rendu compte que tout le monde avait un avis sur tout. Limite les gens veulent que tu fasses comme eux. Cela est trĂšs pĂ©nible au bout d’un moment surtout si on ne demande pas de conseil.

Je n’ai pas du tout apprĂ©hendĂ© mon accouchement car j’ai pu en parler ouvertement avec mes amies proches ainsi que ma sage-femme (CĂ©line) que je remercie pour ses cours mais aussi pour la suite.

L’accouchement s’est plutĂŽt bien passĂ© mais suite Ă  une infection, j’ai dĂ» avoir une cĂ©sarienne mais tout s’est bien passĂ© dans le calme et dans le respect de nos choix, les futurs parents.

J’ai dĂ©cidĂ© de ne pas allaiter pour des raisons personnelles que je ne donnerai pas je trouve qu’il n’est pas nĂ©cessaire de se justifier. Car on doit Ă  mon sens le faire trop souvent.

Bref, j’ai accouchĂ© un lundi soir et le jeudi j’ai commencĂ© Ă  me sentir pas au top. J’Ă©tais en pleurs dans mon lit en fin de journĂ©e. Je me suis dit que je devais ĂȘtre fatiguĂ©e et que trop de monde Ă©tait venu Ă  la maternitĂ©. Et lĂ  je me suis dit que j’aurais dĂ» m’Ă©couter et ne faire venir personne Ă  la mat.

Nous sommes rentrĂ©s Ă  la maison le samedi et lĂ  j’ai compris que je faisais un BABY BLUES…. Je l’ai trĂšs mal vĂ©cu car je ne pensais pas que cela m’arriverait au vu de mon caractĂšre. Heureusement que CĂ©line (ma sage-femme) Ă©tait lĂ  et m’a donnĂ© de trĂšs bons conseils.

J’avais compris qu’en fait 8 femmes sur 10 avait un baby blues. Et quand les gens me demandaient comment je me sentais, je fus honnĂȘte et du coup les langues se sont dĂ©liĂ©es. Beaucoup de femmes que je cĂŽtoyais l’avaient aussi eu et j’en n’ai rien su. Du coup, il faut vraiment ne pas hĂ©siter Ă  en parler et surtout laisser les larmes sortir si ça doit sortir. AprĂšs 3 semaines, ça a fait le tour.

Par contre, je me suis vite rendu compte qu’il y avait un autre souci : la pression sociale autour de la maternitĂ© et le fait de devenir maman. C’est comme si on n’avait pas le droit de se plaindre, de ne pas ĂȘtre fatiguĂ©e, de ne pas en avoir marre, de ne pas regretter sa vie d’avant. Je m’explique, j’aime mon fils plus que tout au monde, je donnerais ma vie pour lui. Mais par contre, je n’ai quasi pas de temps pour moi, rien que pour moi, car mon compagnon a un travail qui l’oblige Ă  ĂȘtre souvent absent. Donc oui, il y a des jours c’est dur mĂȘme trĂšs dur… Je ne compte plus les fois oĂč j’ai pleurĂ© Ă  chaudes larmes dans ma douche ou mĂȘme devant mon fils. Et direct ensuite culpabilisĂ©…. Franchement j’aurais aimĂ© avoir plus d’informations sur cela. Car pendant la grossesse on est super bien suivie. DĂšs qu’on accouche toute l’attention est portĂ©e sur le bĂ©bĂ© et la maman et quasi oubliĂ©e. Ça n’est pas toujours facile Ă  vivre. Le bĂ©bĂ© est trĂšs bien suivi mais rien pour la maman. Et je pense qu’il est important et nĂ©cessaire qu’on n’oublie pas la santĂ© mentale et physique de la maman.

Donc je le dis haut et fort, la mĂšre parfaite n’existe pas et il est humain de craquer par moment. Ça vaut aussi pour les papas car il y a aussi des papas dans la mĂȘme situation. On fait du mieux qu’on peut. Et surtout un jour aprĂšs l’autre comme on dit.

J’espĂšre que mon tĂ©moignage permettra Ă  d’autres parents de se sentir moins seuls et de relativiser.

Vanessa

 

Julie

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